"Paris i commande pas nou". Pour l'investiture officielle, si. Et selon nos informations, cette investiture toujours officieuse reviendrait donc à Michel Fontaine, maire de Saint-Pierre. "Cela fait un moment que le président de l'UMP a appris qu'il est le favori pour conduire la liste locale, aux sénatoriales", indique un proche du parti au pouvoir.
"Cette décision est la suite logique de la démarche entreprise à l'UMP, et ce dès l'avènement de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. Il y avait une volonté de renouvellement des cadres du parti et des élus UMP". En résumé, les Sarkozistes avaient ordre de se débarrasser des Chiraquiens. A La Réunion avec les élections régionales, 2010 a été l'apothéose de cette orientation.
Mais l'échec de l'UMP aux Régionales en 2010 en métropole et la gifle de 2011 aux cantonales, y compris à La Réunion, obligent les Sarkozistes au rappel des "anciens", c'est-à-dire des Chiraquiens. Dans l'île, amoindri par l'échec de liste La Réunion en confiance, Didier Robert n'est désormais plus seul à décider à Droite.
A ce sujet, rares sont ceux qui s'expriment au nom de la Droite. Rares sont ceux qui s'expriment au nom de l'UMP. Et rares sont ceux qui tentent de défendre la politique gouvernementale de François Fillon, Premier ministre. Certains réfléchissent même pour savoir comment se débarrasser de cette étiquette politique devenue embarrassante.
Sur le terrain, seul Jean-Paul Virapoullé qui a également rencontré Jean-Claude Gaudin, consulte. Le sénateur sortant a déjà échangé avec un certain nombre d'élus aussi bien du Centre droit que de la Droite. La défaite de la liste conduite par Didier Robert aux cantonales, lui a ouvert plusieurs portes.
Malgré l'accumulation d'échecs électoraux depuis 2008 (municipales, régionales et cantonales), le parlementaire semble encore proposer une alternative à Droite, "et ce à condition qu'il arrête de se mêler de tout, et d'essayer de manipuler ou dresser les uns contre les autres".
"Cette décision est la suite logique de la démarche entreprise à l'UMP, et ce dès l'avènement de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. Il y avait une volonté de renouvellement des cadres du parti et des élus UMP". En résumé, les Sarkozistes avaient ordre de se débarrasser des Chiraquiens. A La Réunion avec les élections régionales, 2010 a été l'apothéose de cette orientation.
Mais l'échec de l'UMP aux Régionales en 2010 en métropole et la gifle de 2011 aux cantonales, y compris à La Réunion, obligent les Sarkozistes au rappel des "anciens", c'est-à-dire des Chiraquiens. Dans l'île, amoindri par l'échec de liste La Réunion en confiance, Didier Robert n'est désormais plus seul à décider à Droite.
A ce sujet, rares sont ceux qui s'expriment au nom de la Droite. Rares sont ceux qui s'expriment au nom de l'UMP. Et rares sont ceux qui tentent de défendre la politique gouvernementale de François Fillon, Premier ministre. Certains réfléchissent même pour savoir comment se débarrasser de cette étiquette politique devenue embarrassante.
Sur le terrain, seul Jean-Paul Virapoullé qui a également rencontré Jean-Claude Gaudin, consulte. Le sénateur sortant a déjà échangé avec un certain nombre d'élus aussi bien du Centre droit que de la Droite. La défaite de la liste conduite par Didier Robert aux cantonales, lui a ouvert plusieurs portes.
Malgré l'accumulation d'échecs électoraux depuis 2008 (municipales, régionales et cantonales), le parlementaire semble encore proposer une alternative à Droite, "et ce à condition qu'il arrête de se mêler de tout, et d'essayer de manipuler ou dresser les uns contre les autres".
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